- EAN13
- 9782702161777
- ISBN
- 978-2-7021-6177-7
- Éditeur
- Calmann-Lévy
- Date de publication
- 24/03/2021
- Collection
- Littérature
- Nombre de pages
- 288
- Dimensions
- 21,4 x 13,8 x 1,8 cm
- Poids
- 305 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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" Ma Reine, mon aimée, Ce roman, c’est d’abord une déclaration d’amour."
Au début, quand j’ai entrepris ce livre, c’était avec l’idée d’écrire une fiction autour de cette Flûte enchantée de Mozart à laquelle je dois le bonheur de t’avoir connue lorsque tu y chantais le rôle de la Reine de la Nuit. Mais à côté de la metteuse en scène et des chanteurs en répétition ont surgi sous ma plume d’autres personnages que je n’attendais vraiment pas – un vieux et ses angoisses du grand âge ; un jeune assistant à la mise en scène au bord du suicide ; une étrange concierge de Théâtre tantôt conteuse tantôt sorcière. Moi qui voulais te célébrer en la lumineuse compagnie de Mozart et de son opéra, je me retrouvais avec leurs questions devant la fin de vie et le droit à mourir dans la dignité ! L’horizon du roman s’assombrissait ! Heureusement, ce vieux d’encre et de papier m’a surpris à nouveau quand il s’est mis à ne plus vouloir envisager les années qu’il lui restait à vivre autrement que comme des moments de joie. Improbable avenir, mais bel effort !
Sans doute fallait-il que l’écriture de mon roman passe par toutes ces étapes pour que, moi aussi, je puisse mieux que jamais te dire mon amour. »
Au début, quand j’ai entrepris ce livre, c’était avec l’idée d’écrire une fiction autour de cette Flûte enchantée de Mozart à laquelle je dois le bonheur de t’avoir connue lorsque tu y chantais le rôle de la Reine de la Nuit. Mais à côté de la metteuse en scène et des chanteurs en répétition ont surgi sous ma plume d’autres personnages que je n’attendais vraiment pas – un vieux et ses angoisses du grand âge ; un jeune assistant à la mise en scène au bord du suicide ; une étrange concierge de Théâtre tantôt conteuse tantôt sorcière. Moi qui voulais te célébrer en la lumineuse compagnie de Mozart et de son opéra, je me retrouvais avec leurs questions devant la fin de vie et le droit à mourir dans la dignité ! L’horizon du roman s’assombrissait ! Heureusement, ce vieux d’encre et de papier m’a surpris à nouveau quand il s’est mis à ne plus vouloir envisager les années qu’il lui restait à vivre autrement que comme des moments de joie. Improbable avenir, mais bel effort !
Sans doute fallait-il que l’écriture de mon roman passe par toutes ces étapes pour que, moi aussi, je puisse mieux que jamais te dire mon amour. »
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